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Aider les enfants avec Pro Terra Sancta

01 octobre 2021
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Aider les enfants avec Pro Terra Sancta
Aider les enfants avec Pro Terra Sancta

Pape François nous rappelle toujours que tendre la main aux pauvres, en particulier aux enfants, signifie tendre la main vers Jésus : 

« Laissons-nous interpeller par les enfants qui (...) reposent dans les sordides "mangeoires de dignité" : dans le refuge souterrain pour échapper aux bombardements, sur le trottoir d’une grande ville, au fond d’une bateau surchargée de migrants. Laissons-nous interpeller par les enfants qui ne sont pas mis au monde, par ceux qui pleurent parce que personne ne rassasie leur faim, par ceux qui ne tiennent pas des jouets, mais des armes dans leurs mains ». (Homélie de Noël, 2016)

Notre Association a fait de ces paroles sa mission. Grâce à vous, nous réussissons à aider les enfants pauvres, les enfants victimes de la guerre, les enfants qui ont faim, à faire respecter les droits des enfants. 

Comme Pape François, nous voulons les voir faire ce qu’ils font le mieux : jouer, grandir, étudier et être heureux.

Les enfants invisibles d’Alep Est

Aider les enfants syriens

« Un nom et un avenir » est l’un des projets les plus importants que nous soutenons grâce à votre aide. Beaucoup d’enfants d’Alep Est, en Syrie, sont en train de grandir seuls dans les décombres de la ville bombardée en 2006. 

Ce sont les enfants de jeunes femmes violées et obligées de se marier avec les guérilleros du Jihad, partis ensuite vers le Nord en les abandonnant. Par peur et par honte, ces mères n’ont jamais reconnu leurs enfants : au registre ils n’existent pas et n’ont droit à rien

Ce sont plus de 1200 enfants invisibles que nous assistons dans nos 2 centres d’Alep Est. Notre premier objectif est celui de leur donner une identité et une famille, de les aider à récupérer leurs années scolaires et de les voir grandir forts et sains.

Grâce à nos supporters, tous les 2 mois, un colis avec des aliments, des vêtements et des produits de première nécessité est fourni aux mères ou tantes des enfants, pour les plus petits même du lait en poudre qui ne se trouve plus en Syrie. 

Pendant trois jours par semaine, un pédiatre visite gratuitement les enfants de « Un nom et un avenir ». À l’avenir, nous souhaiterions également de créer un centre médical avec un dispensaire fourni et les aider en distribuant gratuitement les médicaments nécessaires.

Ce sont plus de 700 les enfants et les jeunes qui fréquentent régulièrement les cours de rattrapage offerts deux fois par semaine et le centre de jour la fin de semaine. Nour, Hussain et Fatima sont trois petits frères de 10, 7 et 8 ans. La mère a été abandonnée il y a 5 ans par son mari. Maintenant ce sont ses enfants qui lui apprennent à écrire et à lire ! 

Une quarantaine de nos étudiants quittent le Centre chaque mois : dans le meilleur des cas, il s’agit d’enfants que nous réussissons à enregistrer au registre d’état civil ou qui sont confiés à une famille par l’État. 

Dans le pire des cas, malheureusement, ce sont des enfants qui sont forcés par leurs parents à travailler. Pour faire face à cette urgence, nous voulons créer une « école sur roues » pour rejoindre les enfants d’Alep Est et leur assurer une formation au moins 2 fois par semaine.

Aidez Daniel!

Aider les enfants au Liban

Au Liban, écrasé par l’urgence énergétique, sanitaire et économique, nous soutenons 150 enfants avec des bourses d’études. La plupart des parents, tout en travaillant les deux, ne parviennent pas à payer les frais de scolarité en raison de la forte inflation monétaire. 

Autre façon d’aider les enfants pauvres et de continuer à défendre leur droit à l’étude, est de soutenir directement l’école qu’ils fréquentent. Nous l’avons fait pour les écoles primaires et secondaires d’Adonis, un village à mi-chemin entre Beyrouth et Tripoli.

Grâce aux dons reçus, nous avons pu offrir à l’école de nouveaux bancs, des tableaux noirs et des livres pour les enfants. Une partie des fonds est utilisée pour acheter l’essence nécessaire pour allumer, pendant quelques heures par jour, les générateurs d’électricité. 

L’école, qui depuis des années ne reçoit plus les contributions de l’État qui lui reviennent, réussit à maintenir des frais de scolarité subventionnés. Les professeurs et les frères qui la gèrent sont devenus l’un des rares points de référence pour les familles du village, abandonnées par l’État libanais.

À Beyrouth, beaucoup d’enfants ont été traumatisés par l’explosion du port en Août 2020. L’un d’eux est Daniel. Il n’a que 13 ans, mais depuis un an, il ne peut pas sortir de son lit plus d’une heure par jour

Daniel ne peut plus étudier, lire, jouer. Son enfance lui a été volée. Pour lui et les nombreux enfants émotionnellement éprouvés par la situation critique actuelle, nous ouvrirons bientôt un nouveau Franciscan Care Centre.

Dans ce nouveau centre de jour, ils seront suivis par une équipe de psychologues et de professeurs qui s’occuperont de leur réhabilitation psychophysique et de leur réinsertion scolaire par l’art, la musicothérapie et des cours de renforcement.

Les enfants de la garderie des Sœurs de Saint Vincent de Paul

Aider les enfants pauvres en Terre Sainte 

Les 250 enfants de la garderie et de la crèche des Sœurs de Saint Vincent de Paul sont de huit nationalités différentes. Ils viennent de Jérusalem Est, de la vieille ville, et tous viennent de familles pauvres ou avec de graves problèmes. 

La crèche est logée dans le bâtiment néo-gothique qui est le couvent de Mamilla, à quelques pas de Jaffa Gate et New Gate. Dans le même bâtiment il y a aussi notre guest house, un lieu de séjour pour touristes, pèlerins et voyageurs, grâce auxquels nous contribuons à soutenir les activités de la crèche et de la maison de retraite gérée par les religieuses.

En payant des frais subventionnées, les familles avec des situations particulières, même beaucoup de couples de réfugiés érythréens supportés par l’une des organisations avec lesquelles nous collaborons, le JACC (Jerusalem African Community Centre), peuvent confier leurs petits, de 3 mois à 4 ans, aux soins des sœurs et des professeurs. 

Ces enfants comprennent déjà l’arabe, l’hébreu et un peu d’anglais. Le microcosme créé par les sœurs du Mamilla est un laboratoire de multi-culturalité et de partage qui reflète fidèlement le contexte environnant. 

La Terre Sainte est un lieu de rencontre et d’affrontement, de tensions, de guerres et de crises. L’espoir d’un avenir meilleur réside entièrement dans les plus jeunes, en tendant la main aux plus défavorisés. Aidez les enfants ! Commencez à construire la Paix avec nous !


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